Au milieu du 18e siècle, sous le règne de Louis XV, des attaques mortelles sont imputées à la bête du Gévaudan. Au Château de Saint-Alban qui domine la vallée, les traques s’organisent. Deux siècles plus tard, dans ce même château s’invente une psychiatrie nouvelle. L’asile devient un hôpital ouvert.
Infirmiers et médecins vivent sur place avec leurs enfants. Chaque année, patients
et soignants préparent une pièce de théâtre autour de la bête.